jeudi 30 août 2012

Journée du 29 août 2012

Sous les bâtiments restaurés de Lituanie, on se plaît a laisser voir à travers le plâtre les pierres du passé. C'est ainsi que la Lituanie par petite touche laisse voir aux Chercheurs de 1812, les traces du passé.


Frais et curieux de la journée, Eddy et Daniel me précèdent dans les rues de Kaunas, ou le groupe s'égaie d'églises en maison hanséatique. Dans la vieille ville, les gens sont rares, affairés sans doute. De rares femmes avancent à grands pas, grandes et arborant fièrement de longues chevelures d'or fin. De petits étals de légumes sont alignés presque militairement le long de l'avenue.
Nous franchissons le Niémen par le pont le plus long du monde. En effet, jusqu'en 1918, le Niemen séparait le calendrier Julien, et Grégorien et une traversée de200 m de large se faisait donc en 12 jours.
Voici dans le paysage qui vit du 24 au 27 juin 1812, le passage du Niemen par les 220 000 hommes du corps principal de la Grande Armée.


Le paysage représenté par Faber du Faur, nous apparait assez fidèlement. La boucle du Niemen, la colline photographiée ici est le promontoire nu dominant le Niémen de la gravure et les autres reliefs sont présents. Le bus est garé sur le parcours des colonnes s'étant dirigée vers le pont à droite de cette colline.


Ségur nous dit : à trois cents pas du fleuve, sur la hauteur la plus élevée, on apercevait la tente de l'empereur: Autour d'elle toutes les collines, leurs pentes, les vallées, étaient couvertes d'hommes et de chevaux. Dès que la terre eut présenté au soleil toutes ces masses mobiles, revêtues d'armes étincelantes, le signal fut donné, et aussitôt cette multitude commença à s'écouler en trois colonnes, vers les trois ponts. On les voyait serpenter en descendant la courte plaine qui les séparait du Niémen, s'en approcher, gagner les trois passages, s'allonger et se rétrécir pour les traverser…
Le même jour, Pelleport, colonel du 18e de ligne, est à la tête de 3 800 hommes ayant du biscuit pour 15 jours.
Le régiment est à 3 bataillons de 6 compagnies. Il appartient au 3e corps du Maréchal Ney, 2e division de Razout, 2e brigade de Joubert. Nous faisions brigade avec le 4e de ligne, commandé par Fezensac, qui lui aussi a laissé des mémoires saisissantes.
Le chemin de la Grande Armée sur la route de Moscou porte encore le nom de rue des français « Prancuzu ». Un officier hors de force, aurait été caché puis soigné par la population lituanienne et aurait fait souche sur les bords de la route qu'il avait pris en juin pour dévaster ce sol étranger et que ses compagnons devaient bientôt couvrir de ses vastes débris…
Au bout d'une plaine à peine ondulée, la forêt préserve de son ombre la vielle de route, devenue chemin de randonnée. Cette piste en forte pente traverse le ravin de Pomary, qui domine les faubourgs de Vilna est un effort pour le randonneur qui la parcourt. Pour les hommes désunis et pour les derniers convois, elle fut le 9 décembre, un obstacle infranchissable.


Mais pour l'heure, comme les troupes de ce juin 1812, la vue des clochers et la descente favorise notre progression vers Vilnius, ou, l'on pénètre comme à l'époque par la porte Aurore.


C'est donc à pieds que nous découvrons durant deux heures, une ville d'art ou le néo classicisme domine.




Les ombres s'allongent dans l'heure dorée et invite à l'introspection. La visite s'achève par le cimetière paysager d'Antalkanio pour rendre un hommage aux soldats de l'Armée des Vingt Nations ré inhumés ici.




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mercredi 29 août 2012

La Lituanie

Ce voyage permet aussi de découvrir un pan de l'histoire européenne, l'existence du Grand-Duché de Lituanie et de ses voisins , les Teutoniques et la ligue Hanseatique.
C'est ainsi que nous avons parcouru la vieille ville de Kaunas (Kovno), deuxième ville de Lituanie.
Nous avons découvert les ruines recontruites d'un château en brique du XIII° , première fortification en dur de la Lituanie naissante mais rasée en 1362 après un siège des chevaliers Teutoniques





Parmi les différentes maison de la vieille ville en brique rouge , une magnifique maison gothique datant de la fin du XV° nous rappelle les liaisons entre le grand duché et la ligue Hanseatique.



Sur la route entre Kaunas et Vilnius, le château de Trakai mérite à lui seul le séjour dans cette région. Située dans une région de lacs, cette ville est la première capitale Lituanienne (avant le transfert à Vilnius) et le château (lui aussi reconstruit ) situé sur une île est une véritable perle :




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De Varsovie la Polonaise à Kovno la Russe

Le 28 août 2012

Après un long voyage employant tout les moyens de transports hormis le cheval, nous arrivons en terre polonaise au château de Pultusk. Pendant le repas, Daniel qui a disparu, revient guilleret. Il a découvert dans les étages et les méandres de ce grand château, la chambre ou Napoléon aurait connu l'amour avec Marie Waleska et un des pire moment de solitude, ou le 9 décembre 1812 au soir, il passe, vaincu et empressé vers Paris. Quels sont les pensées qui animent son front, cette nuit de solitude ?


Après le repas, Natalia notre Historienne, illustre la verte campagne polonaise que nous traversons en nous racontant les difficiles relations de la Russie et de Napoléon de la campagne de Pologne jusqu'à l'entrée en guerre le 22 juin 2012. Ces récits forts vivant nous occupent un moment, mais laisse le champ libre durant les 6 heures de voyages pour les occupations dont on a loisir, ebooking et musique pour Eddy, sieste ou le diaporama de 10 ans de photos pour Daniel et moi… Long temps de voyage, la frontière Lithuanienne est franchie, puis dans la nuit, des lumières se reflètent sur un long serpent aux écailles brillantes que nous finissions par traverser : nous franchissons le Niemen de nuit, comme la Grande Armée, mais sur un solide pont datant de l'Union Soviétique.


L'arrivée à l'hôtel très tardive ne nous laisse pas le loisir d'aller plus avant dans le récit…D'autant plus que le fuseau horaire de la Lithuanie fait compter 1 heure de plus que celui de Paris : 11 hoo deviennent minuit et justifie la fin de cette page et de notre journée.

Henri

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mardi 28 août 2012

Des Tuileries à Roissy

Le Lundi 27 août 2012
Sans attendre le réveil, je saute du lit pour une dernière revue de détails. Tout est prêt et au delà, comme toujours, mais un dernier débriefing mental me permet de calmer cette impatience qui monte depuis déjà 15 jours. Pourtant cette journée est pleine de leçons se moquant de mon état d'esprit. De la patience, il en faudra pour attendre Eddy, puis gagner Roissy puis Paris ou nous retrouvons en milieu d'après midi Julie. Patience aussi pour elle, qui nous attends depuis 14h00 sans pour autant nous maudire, ce qui donne raison à l'adage liant la sagesse au nombre de ces jeunes ans.
Quel plaisirs de nous retrouver, tel de vieux camarades séparés par de nombreuses aventures et si impatient de tout se raconter que les histoires se croisent, se précipitent et toutes finissant par des commentaires ou des silences complices et parfois compatissant.
Patricia et Daniel sont en chemin vers Paris et ne seront avec nous que demain pour prendre l'avion. Car nous partons demain pour la Russie, sur les traces de l'effroyable tragédie de 1812, pour ressentir autant que faire ce peu, les évènements et les pensées ayant animés les hommes d'alors.
Quinze jour sur les pas de cette aventure qui a durée 6 mois, a vu Napoléon prendre Moscou fumant, puis comme pressentant de la fin de sa puissance, prolonger l'apogée de son empire quelques semaines. Cette période qui fut interrompue par une simple neige tombant le 14 octobre 1812, devait aggraver tout ce qui s'ensuivit, la ruine de l'armée, la fin de l'Empire, le retour des rois.
Et traversant le Louvre pour atteindre la Cour Napoléon écrasée de soleil, ces propos animaient nos conversations, tel trois philosophes devant passer dans le sombre tunnel du doute, se dirigeant vers la lumière de la connaissance.
Nous étions en chemin vers les lieux de l'Empire imprégnés du Napoléon ayant d'abord quitté les Tuileries pour la Russie, puis la France et réclamé par un Roi, ou il fut inhumé sur les bords de la Seine.

La traversée des Tuileries disparues nous conduisit à l'Arc de Triomphe du Carrousel, hommage à la paix d'or que les sacrifices de la Grande armée laissaient espérer en 1805. Après une marche poussiéreuse, nous traversâmes la place de la Concorde, ou la France sella par le sang son destin républicain. Echapper aux voitures, aux travaux, aux sadiques du volant fut, comme d'habitude une routine attentive, qui ne nous empêcha pas de jeter un œoeil au Palais Bourbon assoupi du mois d'août. But de notre périple, nous foulions la cours des Invalides en fin d'après midi. En chemin, chacun lançait de multiples projets ayant pour cadre la Capitale : assemblée générale à Paris, journées Napoléoniennes en Civil à Malmaison et dans les lieux survivants du Directoire.

La visite du Musée de L'armée se réduisit aux salles sur l'empire, très bien agencées, pédagogiques et mettant en valeur la relation entre les guerriers de tout les grades et les armes et objets dont ils se servirent : bonnet de Police conforme aux découvertes de La Béquille, Gilet à double rangées de boutons d'officiers, nécessaires de voyages, plumes métalliques imitant la plume d'oie, qui sera remplacé vers 1830 par la plume en acier interchangeable.

La tombe de Napoléon, couverte de poussière, était au fond de la crypte sombre, dominée par le dôme des invalides éclatant de la lumière de la fin du jour, comme une promesse de continuité, de résurrection.
Et au milieu de son cercle de Victoires de pierre, couvert d'une paresseuse poussière d'été, le cénotaphe nous apparu comme gardé par une armée de touriste, attirée par la Gloire du Grand Homme,
La journée se terminait par un repas réunissant les vieux amis partageant les mêmes passions, voulant les faire vivre et qui nous guiderons dès la prochaine aube sur les chemin de l'Est.

Henri

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vendredi 24 août 2012

Romantique


Dans une semaine, nous serons sur le fleuve-frontière, le Niémen et cela tient encore de l'improbable pour les passionnées qui prendront la route.

Cela fait deux ans qu'on en parle. Et ça y, nous y sommes ! Toujours un petit doute, car il faut resserrer son col, quitter la certitude et se mettre en chemin vers les autres et nous même que nous cherchons, inconsciemment toujours et encore.

Ah! Ces chemins que nous aimons découvrir, qui commencent devant nos portes mais dont on ne connaît pas le bout. Seraient-ils derrière cette belle colline à l'horizon?

La veille du départ est assez irréelle, c'est une grande chance que nous avons. Aussi, débordant d'enthousiasme, nous essaierons de vous communiquer nos impressions.

Moins nombreux que prévus, le 18e partira sur la vieille route de Moscou, revêtue de la poussière des milliers de disparus en chemin. Comment ? Pourquoi ? Les livres nombreux, nous racontent cette effroyable tragédie. Pourquoi alors vouloir voir par nous même ?

Serait ce une maladie, une fièvre romantique ? Serait ce un vide mystérieux de notre siècle, difficile à décrire, mais palpable pour certain ? Tout cela mais pas seulement.

J'ai essayé de puiser dans les belles pages de Musset et de sa confession d'un enfant du Siècle, la réponse à notre quête. Qu'il me pardonne peut être ainsi que le lecteur, qui sera surpris par l'actualité du texte.

Ayant été atteint, dans la fleur de mon adolescence, de cette maladie morale, je raconte cette histoire. Si j’étais seul malade, je n’en dirais rien ; mais comme il y en a beaucoup d’autres que moi qui souffrent du même mal, j’écris pour ceux-là, sans trop savoir s’ils y feront attention; car, dans le cas où personne n’y prendrait garde, j’aurai encore retiré ce fruit de mes paroles de m’être mieux guéri moi-même, et, comme le renard pris au piège, j’aurai rongé mon pied captif.

Pendant les guerres de l’Empire, un seul homme était en vie alors en Europe ; le reste des êtres tâchait de se remplir les poumons de l’air qu’il avait respiré. Chaque année, la France faisait présent à cet homme de trois cent mille jeunes gens ; et lui, prenant avec un sourire cette fibre nouvelle arrachée au cœur de l’humanité, il la tordait entre ses mains, et en faisait une corde neuve à son arc ; puis il posait sur cet arc et ces flèches traversèrent le monde.

Jamais il n’y eut tant de nuits sans sommeil que du temps de cet homme ; jamais on ne vit se pencher sur les remparts des villes un tel peuple de mères désolées ; jamais il n’y eut un tel silence autour de ceux qui parlaient de mort.

Et pourtant jamais il n’y eut tant de joie, tant de vie, tant de fanfares guerrières dans tous les cœurs ; jamais il n’y eut de soleils si purs que ceux qui échèrent tout ce sang. On disait que Dieu les faisait pour cet homme, et on les appelait ses soleils d’Austerlitz.

Mais il les faisait bien lui-même avec ses canons toujours tonnants, et qui ne laissaient de nuages qu’aux lendemains de ses batailles.

C’était l’air de ce ciel sans tache, où brillait tant de gloire, où resplendissait tant d’acier, que les enfants respiraient alors. Ils savaient bien qu’ils étaient destinés aux hécatombes ; mais ils croyaient Murat invulnérable, et on avait vu passer l’empereur sur un pont où sifflaient tant de balles, qu’on ne savait s’il pouvait mourir.

Et quand même on aurait dû mourir, qu’était-ce que cela ? La mort elle-même était si belle alors, si grande, si magnifique, dans sa pourpre fumante ! Elle ressemblait si bien à l’espérance, elle fauchait de si verts épis qu’elle en était comme devenue jeune, et qu’on ne croyait plus à la vieillesse.

Cependant l’immortel empereur était un jour sur une morne plaine, d'où il fut repoussé dans une de ces îles qui parsème sa destinée. Au bruit de sa chute, les vieilles croyances moribondes se redressèrent sur leurs lits de douleur, et, avançant leurs pattes crochues, toutes les royales araignées découpèrent l’Europe, et de la pourpre de César se firent un habit d’Arlequin.

Alors les enfants sortirent des collèges, et ne voyant plus ni sabres, ni cuirasses, ni fantassins, ni cavaliers, ils demandèrent à leur tour où étaient leurs pères. Mais on leur répondit que la guerre était finie, que César était mort, et que les portraits de Wellington et de Blücher étaient suspendus dans les antichambres des consulats et des ambassades, avec ces deux mots au bas : Salvatoribus mundi . Le Romantisme naissait de ce manque. Est il tout à fait mort ?

Notre époque est de duvet, cela est blanc, agréable, chaud, , mais celui-ci nous grattent parfois la gorge et inquiet nous nous retournons et nous voyons orphelins du passé et en voulant avancer, nous hésitons vers l'avenir.

Alors s’assit sur notre monde en mutation une jeunesse soucieuse. Elle avait dans la tête tout un monde ; elle regardait la terre, le ciel, les rues et les chemins ; tout cela était vide.

Les enfants du siècle regardaient tout cela, pensant toujours que l’ombre d'un César allait débarquer à Cannes et secouer notre monde endormi; mais le silence continuait toujours, et l’on ne voyait flotter dans le ciel que la pâleur de papiers s'envolant.


Quand les enfants parlaient de gloire, on leur disait : Faites des études ; quand ils parlaient d’ambition : Faites-vous une place sûre ; d’espérance, d’amour, de force, de vie : Faites-vous une place sûre.

Des tribuns et consuls du peuple nous dire que la gloire était une belle chose, et l’ambition aussi; mais qu’il y en avait une plus belle, qui s’appelait la liberté.

Les enfants relevèrent la tête et se souvinrent de leurs grands-pères, qui en avaient aussi parlé. ils se souvinrent d’avoir lu le soir, à la veillée, les récits de la Révolution parler d’un fleuve de sang bien plus terrible encore que celui de l’Empereur. Il y avait pour eux dans ce mot de liberté quelque chose qui leur faisait battre le cœur à la fois comme un lointain et terrible souvenir et comme une chère espérance, plus lointaine encore. Mais d'aucun leurs rappelèrent : "Reste en repos du moins ; si on ne te nuit pas, ne cherche pas à nuire." Hélas ! Beaucoup se réfugièrent là.

Mais comme toujours, la jeunesse ne s’en contentait pas.

Il est certain qu’il y a dans l’homme deux puissances occultes qui combattent jusqu’à la mort ; l’une, clairvoyante et froide, s’attache à la réalité, la calcule, la pèse, et juge le passé ; l’autre a soif de l’avenir et s’élance vers l’inconnu. Quand la passion emporte l’homme, la raison le suit en pleurant et en l’avertissant du danger ;mais dès que l’homme s’est arrêté à la voix de la raison, dès qu’il s’est dit : C’est vrai, je suis un fou ; où allais-je ? la passion lui crie : Et moi, je vais donc mourir ?

Un sentiment de malaise inexprimable commença donc à fermenter dans tous

les cœurs jeunes. Condamnés au repos par les souverains du monde, livrés aux cuistres de toute espèce, à l’oisiveté et à l’ennui, les jeunes gens voyaient se retirer d’eux les vagues écumantes contre lesquelles ils avaient préparé leur bras.

Tous ces gladiateurs frottés d’huile se sentaient au fond de l’âme une misère insupportable. Les plus riches se firent libertins ; ceux d’une fortune médiocre prirent un état et se résignèrent soit au bureau, soit à l'Etude ; les plus pauvres se jetèrent dans l’enthousiasme à froid, dans les grands mots, dans l’affreuse mer de l’action sans but. Comme la faiblesse humaine cherche l’association et que les hommes sont troupeaux de nature, la politique s’en mêla. On s’allait battre sur les marches de la chambre législative, on courait à la comédie Musicale ou la Star d'un jour portait une costume qui le faisait ressembler à César, on se ruait à l’enterrement d’un député libéral.

Mais des membres des deux partis opposés, il n’en était pas un qui, en rentrant chez lui, ne sentît amèrement le vide de son existence et la pauvreté de ses mains.

Et sur les chemins d'il y a deux cent ans, l'air de l'Epopée remplit nos poumons aux besoins modestes mais bien réels. Ce vent reste si puissant qu'il peut remplir, quand on le veut, le vide interstitiel de notre quotidien empressé.

Et d'orienter nos rencontre et nous pousser par un changement d'angle d'observation vers cet étrange individu plein de contradictions : nous même.

Gardarem lou Cap !

Henri




lundi 20 août 2012

Bienvenue

Voila c'est parti

Plus qu'une semaine avant le départ: 15 jours à suivre les traces de la grande armée de Vilnius à Moscou avec l'apogée de Borodino
12 ans que j'attends çà , depuis que j'ai assisté à la reconstitution historique de Marengo en 2000. Je n'imaginais pas alors que 5 ans plus tard, je fusse présent sur le champs de bataille d'Austerlitz, cette fois en tant que reconstitueur.

Que de champs parcourus depuis cette date: Iena en 2006, Eylau et Friedland en 2007, Somosierra en 2008, Eckmul et Wagram en 2009 et donc pour cette année la Moskowa


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